Le numéro 14 de la revue « Cinéma Horizons perspectives cinématographiques » a porté sur des contributions traitant de l’image des immigrés dans le documentaire et la spécificité du cinéma de l’exil.
« Cinéma Horizons» a publié, dans son dernier numéro de janvier, une étude sémiologique et analytique sur le rôle du cinéma documentaire dans la formation de l’image des immigrés dans l’opinion publique internationale.
Cette étude met en lumière les dangers et les difficultés que subit le réfugié lors de son voyage.
La deuxième étude a été consacrée au sujet relatif à la spécificité du cinéma algérien dans l’exil et son impact sur le spectateur algérien, en proposant des lectures d’extraits de certains films algériens.
Les deux études font partie d’un dossier portant sur « L’image des immigrés dans le cinéma », qui s’inscrit dans le cadre d’un projet de recherche intitulé « L’image des immigrés dans la littérature et le cinéma francophones contemporains : accueils et enjeux ».
Elles entrent dans le cadre de la coopération entre les universités d’Oran 2 et de Reims (France), a souligné à l’APS le chef du laboratoire d’index des films de guerre du cinéma de la faculté des lettres et des arts, Aïssa Ras El Ma, qui est aussi chef de la rédaction de la revue.
Ce numéro du magazine « Cinéma Horizons », édité par le laboratoire d’index des films de guerre dans le cinéma algérien de l’université d’Oran 1, a également abordé le contenu du cinéma algérien entre consolidation des valeurs nobles et l’approche des affaires sociales à travers le film « Deux femmes » d’Amar Tribeche.
Le lecteur trouvera, également, au sommaire de la revue un document de recherche intitulé « Les représentations esthétiques de l’architecture dans le cinéma algérien », ainsi qu’un ensemble d’articles portant sur des thèmes liés à « l’Esthétique de l’intelligence artificielle et de l’image numérique », « le cinéma et la dialectique de l’art et la technologie », et « l’espace symbolique dans le cinéma égyptien », « Alak El Balah » et « Réception du film cinématographique : entre le texte ouvert et les limites de l’interprétation ».
