Lyna Lamari, ingénieure en informatique, a travaillé sur une application de commercialisation des légumes et fruits frais pour permettre aux citoyens de les acquérir à des prix très compétitifs.
Dans cet entretien à Diasporadz, Lyna Lamari nous présente son application de commercialisation des légumes et fruits frais et nous explique comment en faire bénéficier les consommateurs algériens.
Entretien réalisé par N. Aksel
Diasporadz : Pouvez-vous présenter à nos lecteurs votre application de commercialisation des produits agricoles ?
Lyna Lamari : Mon application offre une interface conviviale avec une visibilité granulaire, avec une segmentation détaillée par catégories telle que la laitue, la pomme de terre, etc., tout en simplifiant le processus d’achat.
J’ai conçu l’application de sorte qu’elle soit intuitive et fluide, accordant une attention particulière à la facilité de la navigation et à la simplicité du processus de commande pour garantir la satisfaction de ses utilisateurs.
Elle permet l’acquisition des produits aux moindres coûts ou à des prix raisonnables d’une part et offre une commodité de les acquérir par internet et de les recevoir à domicile d’autre part.
Aussi, cette application garantit la transparence sur les offres disponibles en permettant de faire les bons choix. Enfin, elle permet une stabilité des prix sur le marché en éliminant les intermédiaires et les spéculations.
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Diasporadz : En quoi votre application se distingue-t-elle des autres applications de commercialisation existantes ?
Lyna Lamari : Mon application est personnalisée pour la commercialisation des légumes et fruits frais pour le marché algérien. Donc, elle se distingue nettement des autres applications commerciales comme celles des autres produits informatiques, électroménagers…
Diasporadz : Comment envisagez-vous de réaliser votre projet ?
Lyna Lamari : Je souhaite trouver un partenaire qui va financer les chambres froides pour le stockage et les véhicules de transport et de ventes avec un capital pour l’acquisition des produits auprès des agriculteurs d’Oued Souf et d’ailleurs.
